Adjaï aux mille visages, tome 2, en financement participatif !
Parait que je suis une influenceuse ; si si. Bon, mis à part que ce n’est pas mon métier et que je ne compte pas acheter de webcam ou de super-micro pour un jour vous imposer ma tronche sur des vidéos de promotion, j’admets qu’en effet, dans une moindre mesure, j’ai une certaine influence sur mon public.
Des fois. Un peu. Quand il a envie, quoi.
Un café et des idées claires plus tard, je viens vous proposer de découvrir d’une traite le premier et le second tome d’un roman rôliste – on devrait vraiment définir la catégorie littéraire, elle a sa légitimité – particulièrement sympa, actuellement en financement participatif. Oui, écrit par une amie, mais je l’ai lu, et j’ai vraiment apprécié, alors, vivement la suite, et vous pouvez y aider !
Adjaï aux mille visages, par Aquilegia Nox, conte l’histoire d’un changelin, une créature qui peut prendre toutes les formes, toutes les apparences humanoïdes et qui, par définition, a de gros problèmes à sa propre identité et son propre genre puisqu’il peut tout endosser mais ne pourrait jamais affirmer quel est sa véritable nature ! Adjaï, ou encore Sélène, ou des tas d’autres noms et apparences, essaye de survivre dans un monde qui, sans surprise, n’aime pas son espèce et, sans surprise non plus, fait du personnage principal de ce roman une sorte de roublard évoluant, par la force des choses, dans le monde de la criminalité.
L’univers d’Adjaï aux mille visages est un monde de fantasy entre le bon vieux med-fan et le steampunk, très bien construit et qui sent le roman rôliste : tout a été bien pensé et travaillé et tient sérieusement la route en terme de cohérence. Y’a aussi quelques références vraiment typiques du jeu de rôle, y compris des aventuriers à la chasse aux XP, si si ! (et ça se finit mal pour les chasseurs)
Mais au-delà des clins d’œil et des références assumées, c’est aussi une histoire d’une grande profondeur, qui pousse le poids sur le problème de la différence, de l’identité, surtout celle de genre, et de la maternité, un sujet qui parle beaucoup à la romancière.
Et donc, il y a déjà un premier tome, et Aquilegia essaye de financer l’édition du second ! Je pourrais encore vous dire à quel point c’est chouette – et pourtant, je n’aime pas la fantasy en roman, hein ! – mais je crois que vous aurez compris que je ne peux que vous recommander d’aller vous faire ce cadeau littéraire de Noël, ou l’offrir à vos amis. Et donc, d’aller voir de suite la page Ulule de la campagne !
Et si vous n’avez pas envie ou les moyens, faites tourner cet article et partagez ! Ça ne peut qu’aider !
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